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Le Pen - Page 27

  • Il faut organiser un référendum dans tous les pays de l’UE

    Intervention de Jean-Marie Le Pen au Parlement européen sur le traité de Lisbonne

    Deux ans et demi après le rejet de la Constitution européenne par les Français et les Néerlandais, le Conseil européen a adopté le 19 octobre à Lisbonne le Traité simplifié et modificatif, bien mal nommé, car il a été complexifié et ne modifie la Constitution rejetée qu'à la marge.

    Bref, on veut nous faire prendre des vessies pour des lanternes et nous convaincre que ce texte n'a rien à voir avec le précédent pour éviter d'affronter les peuples européens par référendum.

    La chose est trop sérieuse, semblez-vous dire, pour être confiée aux peuples. Eh bien, nous pensons exactement le contraire. Dans la mesure où ce texte est un copié-collé de la Constitution européenne, il mérite que chaque pays organise un référendum de ratification, à commencer par la France et la Hollande. Seul un référendum peut annuler ce qu'un autre à décidé !

    Je lance dès ce jour, sans esprit partisan, une grande pétition dans mon propre pays pour que le Président de la République française, initiateur du mini-traité européen, revienne sur sa position en proposant un référendum.

    Il y va, en effet, de l'avenir de nos Nations respectives, de leur souveraineté, de leur indépendance, de leur identité et de leurs libertés.

    Nous ne pouvons confier, par exemple, à un Haut Représentant le soin de nous représenter à l'étranger pas plus que nous ne pouvons voir remettre en cause notre siège au Conseil de Sécurité des Nations-Unies au nom de la personnalité juridique de l'Union ou encore laisser notre corpus juridique et législatif démantelé par les juges de Luxembourg.

    Les complices d'un tel déni de démocratie porteraient une lourde responsabilité devant l'Histoire.

  • La fiction et la réalité...

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Mathieu Lindon, son éditeur, et Serge July de Libération, étaient allés se plaindre devant la Cour européenne des droits de l’homme que la justice française ait osé les condamner pour diffamation envers Jean-Marie Le Pen.

    Mal leur en a pris. La Cour européenne des droits de l’homme a jugé la réalité et non la fiction. Et la réalité est que Mathieu Lindon, son éditeur, et Serge July, sont des diffamateurs.

  • Les législatives suisses et polonaises

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le Front National se félicite de la victoire de l’UDC aux élections législatives suisses. Nos voisins ont ainsi dit non à l’immigration, et manifesté leur ferme refus d’une Union européenne destructrice des souverainetés nationales.

    Il regrette en revanche qu’en Pologne la plateforme libérale ait obtenu une majorité relative, dans la mesure où ce parti politique affiche une position européiste.

    Le Front National continue plus que jamais de se battre, notamment avec ses partenaires du groupe ITS au Parlement européen, contre une Europe supranationale soumise aux diktats du mondialisme.

  • Historique : la Cour européenne des droits de l’homme confirme la diffamation envers Le Pen

    La Cour européenne des droits de l’homme a renvoyé dans les cordes Mathieu Lindon, son éditeur, et Libération, qui s’étaient plaints d’avoir été condamnés par la justice française pour diffamation envers Jean-Marie Le Pen.

    « Assimiler un individu, fût-il un homme politique, à un “chef de bande de tueurs“ outrepasse les limites admises même si la critique à l’égard d’un homme politique peut être plus large que pour un particulier », observe la CEDH ; même si Jean-Marie Le Pen s’expose « à une critique sévère », croit-elle judicieux d’ajouter, en profitant pour rappeler les condamnations du président du Front national pour délit d’opinion.

    La CEDH précise que la décision de justice française « trouve sa base légale dans des textes clairs », dont l’article 29 de la loi sur la presse, qui « couvre la fiction lorsqu’il s’agit de l’atteinte à l’honneur d’une personne clairement désignée » (Mathieu Lindon tentait de faire valoir que son écrit était un roman, avec des personnages fictifs, mais son titre est « Le procès de Jean-Marie Le Pen »...).

    Serge July, alors directeur de Libération, avait été condamné pour avoir publié une pétition de soutien à Mathieu Lindon qui reproduisait les passages incriminés.

  • Non au « traité de Lisbonne »

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    L’accord des 27 sur le « traité de Lisbonne » est une nouvelle atteinte aux droits des peuples d’Europe.

    Ce traité ne fait que reprendre les dispositions de la Constitution européenne, or cette Constitution a été rejetée par les citoyens français et néerlandais.

    Le « traité de Lisbonne » n’a donc aucune légitimité.

    La seule attitude démocratique, pour les gouvernements, est désormais d’organiser un référendum pour vérifier que les peuples ne veulent pas se dissoudre dans un magma qui bientôt n’aura plus d’européen que le nom.

    Au contraire, le gouvernement français veut que notre pays soit le premier à ratifier ce honteux traité. Le premier à abandonner définitivement les souverainetés nationales. Par un vote du Parlement acquis à l’idéologie euromondialiste.

    Le Front National demande aux Français de manifester leur opposition à cette infamie, à cette insulte à la nation, à cette destruction de ce que tant de générations ont bâti et préservé par leur travail et par leurs sacrifices.

  • Une grève préventive et politique donc illégale

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Une fois de plus, les syndicats de l’archéosocialisme paralysent le pays par une grève préventive et politique.

    Personne ne souligne que cette grève, une fois de plus, est illégale. Toute grève engagée contre des décisions politiques est illicite, puisque la grève est un conflit entre des salariés et leur employeur, et que l’employeur n’a aucun pouvoir sur les décisions politiques.

    Et il ne s’agit même pas d’une décision politique, mais d’un simple document d’orientation sur les régimes spéciaux de retraite, qui n’a fait l’objet d’aucune discussion puisqu’il a été publié il y a une semaine.

    D’autre part, il ne sert à rien de regretter que la loi sur le service minimum ne soit pas encore en application. En réalité cette loi est une publicité mensongère, elle ne servira à rien.

    Le fossé que l’on constate entre la promesse du candidat Sarkozy et sa réalisation en la matière ne peut que laisser planer un doute quant à la détermination du président de la République sur la question des régimes spéciaux de retraite. Et cela renforce, a contrario, la détermination des syndicats.

    Il fallait d’emblée un signe fort, qui n’est pas venu. L’affaire est donc mal engagée.

  • Clandestins : une politique de gribouille

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    D’un côté on apprend que les gendarmes se font à leur tour remonter les bretelles parce qu’ils n’arrêtent pas assez de clandestins, mettant ainsi en péril l’objectif de 25.000 expulsions décrété par le président de la République.

    De l’autre côté on apprend que le préfet de l’Essonne va régulariser les clandestins qui ont occupé une église pendant plus de cinq mois à Massy.

    Il faudrait savoir si l’on veut expulser ou régulariser.

    En fait, on prétend qu’on veut expulser pour faire plaisir aux électeurs nationaux, et on régularise pour faire plaisir à « l‘ouverture ».

    C’est tout le contraire d’une politique d’immigration, c’est-à-dire de non-immigration, claire et ferme.

  • Une stupéfiante première

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    C’est une stupéfiante première que cette ouverture en catimini de la « Cité internationale de l’Histoire de l’Immigration » !

    Voilà un grand musée, voulu et porté par un président de la République comme symbole de la politique de la France vis-à-vis de l’immigration, et dont l’ouverture ne fait l’objet d’aucune inauguration officielle.

    Comme par hasard, le président Sarkozy est en Russie. Loin des Français qui jugent déplacé qu’on célèbre dans un palais national l’immigration dont ils souffrent au quotidien.

    La glorification de l’immigration fait flop. Mais on attend toujours une politique d’immigration qui rompe avec celle du président qui a voulu cette Cité.

  • Une nouvelle pompe aspirante ?

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    L’article 21 du projet de loi sur l’immigration n’exclut pas les clandestins de l’hébergement d’urgence, il précise seulement que les personnes qui n’ont aucun titre à résider sur le territoire ne peuvent pas se prévaloir de cet hébergement pour exiger de l’Etat un logement pérenne au titre de la loi DALO. Ce qui devrait aller de soi.

    Si le Parlement abandonne cet article et rend l’hébergement « inconditionnel », comme le souhaite le Haut Commissaire Martin Hirsch, il aura inventé une nouvelle pompe aspirante de l’immigration illégale.

    Et une pompe à fort rendement. Car si, au mépris des principes les plus élémentaires du droit, les clandestins bénéficiaires d’un hébergement d’urgence peuvent exiger, jusque devant la justice, un droit au logement pérenne, il est évident que les candidats vont affluer de partout.

  • Et l’on parle de dépénaliser le délit d’initié...

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Alors que vient d’éclater l’énorme et particulièrement scandaleuse affaire des délits d’initié dans les hautes sphères d’EADS, le gouvernement annonce l’installation, ce jeudi, par le garde des Sceaux Rachida Dati, du groupe de travail chargé de réfléchir à la dépénalisation du droit des affaires.

    Cette concomitance est pour le moins troublante. Surtout quand on apprend que parmi les possibles dépénalisations figure précisément le cas des délits d’initiés, au motif qu’il ne faudrait pas ajouter une sanction pénale à celle infligée par l’Autorité des marchés financiers.

    S’il en était ainsi, le gouvernement ferait preuve d’un cynisme écœurant, et saperait un peu plus encore la confiance que les citoyens doivent avoir envers la Justice.